Chroniques, nouvelles et billets d'humeur de l'Affreux Jojo.
Le Russe, ce n’est pas difficile. Avant de vulgariser, si cela s’avérait vraiment nécessaire, la triviale grammaire russe, penchons-nous sur son alphabet. Bon nombre de personnes jugent ses caractères comme une barrière infranchissable ; il n’en est rien,...
Lire la suite- Que fais-tu de beau à Kiev par ce temps ? - Écoute, cela faisait un moment que je voulais me remettre à l'écriture, comme une démangeaison pulsant à l'arrière du crâne, se prolongeant en picotements insidieux dans la main. Je regarde par la fenêtre...
Lire la suite- Tu as un peu grossi, non ? - Oui je me laisse un peu aller en ce moment. - Tu sors trop ? - Non cela n'a rien à voir avec mon rythme nocturne, ni ce que j'ingurgite. Je manque simplement d'exercice : depuis quelques semaines, je desserre un peu les...
Lire la suiteJe repense au 13 Novembre avec les attentats du 22 Mars, et je retransmets ici ce que j'avais déjà posté sur les réseaux sociaux. Je ne suis pas fan des partages consensuels sur les réseaux, de la bougie numérique, de la solidarité à peu de clics, j’en...
Lire la suiteJe suis au Cambodge et tout va beaucoup mieux maintenant. Après la visite d'Angkor, je suis allé directement à Pnom Penh. En urgence. A l'Hôpital Central. Je n'avais pas compris les avertissements du guide concernant les mines et le "hors-piste" : qu’il...
Lire la suiteNon, je ne vous annonce pas la décision saine de ne plus jamais vous revoir, malgré la vacuité unilatérale de nos échanges et la prise de conscience tardive que vous ne servez à rien. Non, je n'annonce pas mon suicide malgré le fait que la Vie est vaine,...
Lire la suitePréambule : ce récit a été écrit sans trucage. Aucun animal ni individu n'a été blessé durant l'écriture. * Sonnerie de l’interphone, sursaut, 8h du matin. Le créneau était de 7h30 à 10h, ils sont matinaux et c’est tant mieux. Je me lève précipitamment,...
Lire la suite« Je ne parle jamais de religion, d’animaux de compagnie ni de maladie aux gens qui ne sont pas concernés. » Mafalda Sudessi « Tu es seul. Quand tu souffres, il n’y a que toi qui souffres. On est tous seuls. Tous. Il suffit de le savoir. » Ma mère * -...
Lire la suiteJe déambule dans le sous-sol de la Fnac des Ternes entre les publicités pour jeu Playstation et les rangées de portables alignés. A ma gauche, une plantureuse jeune femme, la vingtaine, des cheveux longs et blonds et voluptueux, parle haut et fort d’une...
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